ღ NOM: Aïndrais ღ PRÉNOM(S): Mickael Geoffroy ღ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 25 mai à Wings ღ ÂGE : 33 ans ღ ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle SITUATION CIVILE ღ : Divorcé ღ SITUATION FINANCIÈRE : convenable ღ EMPLOI/ÉTUDES : Chef de la police ღ CARACTÈRE : Manipulateur, je mentirai si je disais qu'embrouillé les gens ne me donnais pas une certaine satisfaction. Protecteur, on ne touche pas à mes proies, messieurs, dame, soyez prévenue. Froid. Intelligent, un vrai Sherlock Holmes ! Colérique, surtout avec une certaine tête blonde qui ne plie pas à ma volonté. Sociable, le rôle du méchant, sa passe un moment, mais en dehors de ça, je suis un homme très respecté au sein de la petite ville. Téméraire, j'aime prendre des risques, des gros comme des petits. ღ GROUPE : a thousand year ღ AVATAR : Nathaniel Buzolic  ღ CRÉDITS : tumblr

ღ DEPUIS QUAND ÊTES-VOUS À RED WING ?: Depuis toujours, gamin. ღ QU'EST-CE QUI VOUS FAIT RESTER DANS CETTE VILLE ?: l'habitude ? surement oui, et puis tout mes années de résidence m'ont finalement apporté. ÊTES-VOUS ÉPANOUI ? ღ : Beaucoup plus depuis mon divorce, ainsi que depuis que j'avais retrouvé le petit Merlin pour enfin recommencer le jeu. QU'EST-CE QU'IL MANQUE DANS VOTRE VIE ? ღ : Un trophée merlin ? QUELS SONT VOS PROJETS ? ღ : Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin.Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Détruire merlin. Et puis, réussir à mettre dans mon grand lit blanc sa chère tante, oh, et pourquoi pas, faire un grand coup à cet Adam.

ღ PSEUDO: Sprinng ღ PRÉNOM: Morgane ÂGE ღ : 15 ans NIVEAU RP ღ : 700 - 1000, mais ça peux varier, je m'adapte avec mon partenaire. :3 TYPE DE PERSONNAGE ღ : Scéna de Samara :3 COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? ღ : Simple et tout mignon ! COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? ღ : Samara UN DERNIER MOT ? ღ : Grouaouuuuuuuu CODE POUR BOTTIN ღ :

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<b>  ღ Nathaniel Buzolic [url=http://alwayscominback.forumsrpg.com/profile?mode=editprofile]AINDRAIS Mickael Geoffroy[/url]

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Siroter un café, lire un journal, regarder la télé, se reposer. Toutes ces activités étaient impossibles à réaliser avec un voisin tel que le mien. Il était encore venu me voir, le visage dégoulinant de larmes. Ces larmes que je trouvais craquante. Il était arrivé en courant, se réfugiant dans mes bras, criant « Mickeeeeeeey », -comme il avait l'habitude de me surnommer-, entre deux sanglots. Dans ces moment-là, je le laissais pleurer dans mes bras, sans vraiment faire quoique ce soit. Parfois j'essayais de lui parler, essayer de le convaincre qu'à son âge il ne devait plus arriver en pleurant chez moi. Mais, souvent, après mes mots dit, il relevait la tête, le visage rouge et les yeux gonflé et pleurait encore plus. « Tu veux plus de moi, toi aussi Mickey ? », et ses sanglots repartaient de plus belle. Devant sa bouille aussi vulnérable, je ne pouvais que faiblir, j'étais incapable de répondre quoique ce soit et je le serrai alors dans mes bras, chuchotant tout bas au creux de son oreille. « Mais non ..»

Ce jour-là, au lieu de le laisser pleurer ou de le prendre dans mes bras, je voulais m'amuser à un jeu. Je sentais au fond de moi, une terrifiante envie de lui faire du mal. « Merlin, si on partait de tout ça, tous les deux ? » Il me regardait sans vraiment comprendre, mais il hocha la tête pour acquiescer. De toute façon, ce n'était pas vraiment une proposition, je l'aurai emmenée de force s'il m'avait dit non. On sorti tous les deux de ma maison, puis je lui pris sa petite et faible main pour l'entraîner vers ma voiture de civil. Comme on ferait pour un enfant, je l'aidai à s'asseoir et même à s'attacher. Ses yeux ne répondaient plus de lui-même, ça tombe bien, je ne contrôlais plus mes gestes. Je montais de mon côté, puis je mis en route la voiture. Merlin était toujours immobile à côté de moi. On roulait depuis un petit moment déjà, quand les yeux de Merlin se rallumèrent soudainement. Il venait de comprendre qu'on était loin de chez lui, et qu'il n'avait pas prévenu sa mère. Il me regardait avec des yeux suppliant, mais aujourd'hui ça ne prenait pas. J'étais différent, un autre moi avait pris le dessus, et je le laissais faire, trop heureux de commettre ce que j'étais en train de commettre. Je ris en regardant son visage qui redevenait larmoyant. Je passais ma main contre sa joue, parlant d'une voix très douce.« C'est un jeu, Merlin. Tu es l'enchanteur de ton royaume, et tu dois disparaître. » Il ne répondit rien, se contentant de tourner la tête, essayant t'étouffer ses sanglots. On se rapprochait de l'extérieur de la ville, quand je vis le corps de Merlin tombait sur la fenêtre. Il venait de s'endormir.
J'avais réservé dans une chambre d'hôtel. Je l'avais posé dans le lit pour le laisser dormir, tandis que j'allais appeler ses parents pour leur demander une rançon contre la tête de leur bien-aimé fils. J'avais toujours aimé l'argent, plus qu'à la vie humaine. L'humain était faible par nature, on ne pouvait jamais totalement confiance à un humain, comme allait le découvrir le petit Merlin. Il venait de se réveiller. « Alors, l'enchanteur, ce nouveau monde ? » Aucun son ne sortait de sa bouche, seul ses sourcils bougèrent pour se froncer au-dessus de son visage tout en regardant l'endroit où nous étions. Soudain, ma main se mis à me démanger. J'avais envie de le frapper, j'avais envie de marquer son corps d'une façon ou d'une autre. Je voulais lui faire mal. Je ne résistai pas à mon envie bien longtemps. Ma main vola tout droit contre sa joue en gronda qu'il devait oublier. Sa joue était devenu rouge, ma main aussi. Mais en la regardant, je ne sentais ni douleur, ni regret, je me sentais bien, mon coeur battait fort et un rire sortit de mon intérieur. Je n'étais plus le même, j'étais la personne que je voulais le plus devenir. La nuit passa, le lendemain j'appelais comme convenu la famille de Merlin pour leur donner le lieu de rendez-vous. Mais ceux-ci me répondirent qu'ils ne paieraient pas la somme demandée. Je raccrochais, contrarié. Puis, devant vint se mettre la personne que j'avais le moins envie de voir actuellement, l'enchanteur. Ma colère grandis et je le menaçai. Il sortie en courant de la pièce pour aller se réfugier dans la chambre.
Soudain, j'entendis sonner. Je me dirigeais vers la porte encore énervé. Mais ce qui m'attendait devant la porte m'énerva encore plus. Quand j'ouvris la porte elle se jeta dans mes bras. « Mickael ! » Elle était au bord des larmes et s'agrippait de toutes ses forces contre moi. Je soupirai, comme si j'avais pas assez d'ennui, il fallait qu'elle revienne celle-là. Je pris ses épaules entre mes mains et la poussa violemment de moi. « Qu'es que tu veux ? C'est pas ton habitude de pleurer. » grommelais-je, indifférent. Elle me regarda pendant un long moment, ses larmes avaient disparu et un sourire c'était dessiné au bord de ses lèvres. « Je te veux évidemment. » On resta là, chacun dévisageant l'autre. Puis elle sortie de son sac une bouteille d'un liquide transparent, n'importe qui aurait pu croire que c'était de l'eau, mais je savais pertinemment que ce n'était pas le cas. Je lui pris la bouteille des mains, avant de goûter son contenu que je recrachais aussitôt. « Tu prends encore de cette merde ! » Je lançais la bouteille au fond de la salle, avant de la plaquer violemment contre le mur. Elle poussa un long cris que j'étouffai de ma main. Elle se calma presque aussitôt. « Tu joue au bon flic maintenant ? Tu prenais la même il y a quelque temps, je te rappelle. » Je lui lançai un regard méprisant, j'avais déjà décidé d'oublier ce passé-là. Mes mains s'agrippèrent encore plus violemment contre elle pour la maintenir au mur. « Hum .. Quelle violence, comme à l'époque. Elle s'approcha de mon oreille. Dis, tu ne voudrais pas recommencer, comme avant ? » Tout mon corps se raidit. Je n'en pouvais plus. Elle ne pouvait pas continuer comme ça, je lui pris le bras avant de l'emmener dehors dans ma voiture. Je la poussai dedans avant de mettre le contact en direction d'un endroit où personne ne pourrait nous nuire. J'avais oublié Merlin. J'avais oublié que ce que je voulais faire de lui. Pour le moment, je savais que je devais soulager cette déluré assise à côté de moi. Et puis, le jeu ne serait que meilleur en lui laissant des cicatrices.

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u.c

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