ღ NOM: Lombardie ღ PRÉNOM(S): Alexander ElijahDATE ET LIEU DE NAISSANCE ღ : Red wings, 13 janvier 1978ÂGE ღ : 35 ansORIENTATION SEXUELLE ღ : Hétéro sexuel SITUATION CIVILE ღ : Célibataire, mais amoureux. SITUATION FINANCIÈRE ღ : Aisée EMPLOI/ÉTUDES ღ : Neuro chirurgienCARACTÈRE ღ : Doux, Franc, Intelligent, Sincère, A l'écoute - Perfectionniste, Bordélique, Peu ponctuel sauf pour son travail. GROUPE ღ : Chasing car AVATAR ღ :Daniel Gillies CRÉDITS ღ : moi

ღ DEPUIS QUAND ÊTES-VOUS À RED WING ?: Depuis toujours, mais j'ai quitter pour y revenir! ღ QU'EST-CE QUI VOUS FAIT RESTER DANS CETTE VILLE ?: Qu'est-ce qui me fait rester ici? Mon désir de reconquérir ma dulcinée Charlie. C'est ma nouvelle mission! Mon amour pour cette ville aussi fait que je reste ici! ÊTES-VOUS ÉPANOUI(E) ? ღ :Mmm..Bonne question, je ne dirais pas que je sus épanoui,car il y a peu de temps on a refusé ma demande en mariage. L'amour de ma vie, me manque énormément! Il me manque juste ça!QU'EST-CE QU'IL MANQUE DANS VOTRE VIE ? ღ : Est-ce que j'ai vraiment à vous dire ce qui me manque? IL me manque Charlie, l'amour de ma vie. Il me manque le bonheur éprouvé quand l'amour y est, quand son corps était contre le mien respirant à l'unisson. Elle me manque. QUELS SONT VOS PROJETS ? ღ : Je n'ai pas vraiment pensé à cela. la première chose à laquelle je pense est cette femme merveilleuse qui manque à ma vie. Me trouver un emploi de neurochirurgien à l'hôpital du coin, me refaire un réseau de contact, voyager, etc... Seule l'avenir me dira ce que je ferai!

ღ PSEUDO: Ary ou Arya ღ PRÉNOM: Aryanne ÂGE ღ : 19 ans NIVEAU RP ღ : BONTYPE DE PERSONNAGE ღ :  scénario de Charlie! COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? ღ : Toujours aussi beau! COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? ღ : J'y suis de puis le tout début! UN DERNIER MOT ? ღ : écrire ici CODE POUR BOTTIN ღ :

Code:

<b>Danniel Gillies ღ [url=http://alwayscominback.forumsrpg.com/profile?mode=editprofile]Alexander E. Lombardi[/url]

Mon histoire a commencé quand j’eus le don de la parole.  C’est-à-dire vers l’âge de 1 an, mais ce n’est pas de cette époque dont je veux vous parler! Dès mon plus jeune âge, j’étais curieux de nature et je voulais tout savoir sur le comment des choses.  Comme je suis enfant unique, leur attention était tournée vers moi et seulement moi, ce qui favorisait la pose de question. Oui, à l’âge de 5 ans, j’en ai posé des questions en regardant mes parents d’un air si pur et innocent : «Papa, pourquoi le ciel est bleu? Papa, pourquoi l’eau est bleu?»  Je sais, je sais, c’est des questions enfantines vides de sens et qui ne cherchent que des réponses à moitié scientifiques, mais ce n’est pas grave à cet âge non? C’est là que généralement mon père et ma mère se tournaient vers moi pour répondre quelque chose de ce genre : «Tu sais mon cœur, le ciel a beaucoup de couleurs, c’est les gouttes d’eau et leurs reflets… Tu sais ce qu’est un reflet? Regarde dans ton verre d’eau, tu te vois!? Alors reflet fait… que nous percevons le bleu.» Mon père lui c’était plus vague comme si j’étais déjà grand : «Fiston, ça c’est la beauté de la nature, on ne sait pas grand-chose, mais avons plein de questions!» Ça je dois avouer que je n’y comprenais rien du tout et je m’en fichais complètement! À cette époque mes deux parents étaient heureux et ensemble quoi demander de mieux?

Ensuite, mon histoire se poursuit, avec l’adolescence.  Que dire à propos de cette période stressante en quête d’identité. Oui c’est à cette époque qu’on se cherche, qu’on joue au détective avec sa loupe pour trouver les traces du chemin que nous devrons suivre.  Cette quête interminable où tout nous semble loin, mais pourtant si proche et où l’on décide finalement qui nous voulons vraiment être.  Parfois la vie nous offre des signes, des évènements pour nous mettre sur la piste… C’est ce qui m’est arrivé.  De l’âge de 13 à 15 ans, il ne s’est rien passé de spécial dans ma vie, la routine quoi; école, devoir, voir les potes, dodo.  Mais à 16 ans c’est une tout autre histoire.  Laissez-vous racontez : Mon père et moi on était à l’hôpital, moi j’attendais la fin de son chiffre pour pouvoir aller à la maison avec lui. J’étais dans la salle d’attente, accoudé au comptoir des infirmières et de la réceptionniste pour parler et passer le temps. Mon père finissait normalement dans une quinzaine de minutes et après nous serions rentrés rejoindre maman qui nous attendait. Soudainement, j’entendis un bruit sourd, un bruit de détonation. Un Bang inattendu et anormal. Tous eurent le réflexe de se baisser. Je me précipitai dehors pour voir si quelqu’un avait besoin d’aide. C’était comme si c’était dans mon instinct de sauver. J’aperçus une personne étendue au sol qui perdait du sang. Un ambulancier… Mais pas n’importe lequel, c’était mon cousin. Dans ma famille on aspire au médical. Je pris mes mains et les appuyai fermement sur la blessure par balle. Je pleurais, mais ignorai mes larmes portées par l’adrénaline. Mon cœur battait à tout rompre comme s’il voulait s’échapper de ma poitrine. Instinctivement, je décidai de le déplacer à un endroit non visible pour un tireur potentiel. Je ne pouvais donc pas crier, de peur qu’il revienne. Je sortis mon téléphone portable et signalai le numéro de mon père. Lui saurait quoi faire… Je parlai tout bas lorsque mon père décrocha. «Papa, je suis dehors… Bastien est blessé… il a été touché par une balle…» Je ne laissai pas mon père placer un mot…sachant qu’il n’aurait pas aimé mon choix de me précipiter dehors. «Je sais pas si le tireur est encore là… mais j’ai besoin que tu m’aides… Il prit alors la parole : «Décris-moi la blessure, décris moi ce que tu vois et n’oublie surtout pas aucun détail!!!» Je respirais très fort et très vite, mais l’adrénaline avait pris le dessus sur mon corps alors, je chuchotai un petit ok…  Je commençai rapidement. «Plaie par balle à l’abdomen… La balle n’a pas traversé… Il n’y a pas de résidu donc le tireur devait être assez loin… PAPA il saigne énormément… PAPA c’est BASTIEN!» Ces mots avaient choqué mon père… Il ne savait plus trop quoi dire… mais il se reprit rapidement et m’expliqua que la police était en route et que je devais continuer à appuyer sur la blessure.  Je devais faire quelque chose pour lui… retirer la balle pour éviter que la balle n’arrive jusqu’au cœur. «Papa dit moi quoi faire… dit-moi comment retirer la balle. Je t’en supplie, il faut le sauver! je vous passe tous les détails C’est donc, depuis ce jour que je voulus devenir médecin… non… Chirurgien comme mon père pour continuer de sauver des vies. Parce que Bastien s’en était sorti grâce à moi! Quelques années plus tard, j’entrai à la fac et fis mes études en médecine… Ensuite je graduai avec mention et mes parents étaient au premier rang à la collation des grades pour écouter mon discours de major de promotion. Je n’ai jamais eu vraiment de relation amoureuse… Enfin j’avais fréquenté plusieurs filles, mais ce n’était pas l’amour. Mais peu importe  l’amour, j’exerçais désormais le métier qui  me passionnait et qui j’aimais appeler mon premier amour.

Passons passons ma jeunesse et parlons plutôt de maintenant. Il y a un an et quatre mois, mon cœur chamboulait et laissait entrer la plus jolie femme dans ma vie.  Qui aurait cru qu’une simple visite dans un petit café aurait changé le cours de mon existence.  Cette Charlie, mon grand et dernier amour. Elle était ma serveuse cette journée-là,  elle me servait du café et moi je la fixais comme un idiot! Néanmoins, j’avais entrepris de la courtiser et de la faire mienne… Je savais qu’elle était la femme de ma vie. Je la fréquentai 8 mois et je ne pouvais plus attendre avant de la demander en mariage! Avant d'acheter la bague, je l'invitai chez mes parents, ils devaient rencontrer la femme qui faisait battre mon coeur et qui me rendait si heureux. Mes parents allaient l'adorer. Je l'amenai chez mes parents et leur présentai Charlie. «Papa, maman, je vous présente Charlie, ma petite amie.» Mon père s'avança pour lui serrer la main et ma mère également. PLus tard au cours du souper, après plusieurs minutes de conversation, ma mère ne se gêna pas pour montrer son mécontentement vis-à-vis la situation financière de Charlie. Mais je ne pouvais pas la laisser faire comme cela. Je gardai le silence pour ne pas empirer les choses. Cependant, quand elle me dit au moment de mon départ: «Elle n'est pas faites pour toi Alexander, elle n'en veut qu'à ton argent!» S'en était trop, ma colère et ma déception montait en moi et je ne pus garder mon commentaire pour moi: «Charlie est quelqu'un de bien, la femme la plus généreuse, elle a tout donné à des oeuvres de charités au contraire de vous qui avez tout garder. Alors ne viens pas me dire qu'elle n'est pas faite pour moi, car je sais que c'est faux, que ça te plaise ou non... je l'aime!» Je sortis de la maison et allai reconduire Charlie chez elle. Peu de temps après, j’allai magasiner une bague. Au bijoutier je me rappelle avoir dit :«Pas la plus grosse, ni la plus petite, celle qu’une femme ne pourra refuser!»  J’avais alors pris une bague qui représentait des branches refermant un léger diamant. J’étais prêt à faire de Charlie ma femme, celle que je chérirais à la vie à la mort, dans la santé ou la maladie, dans la richesse ou la pauvreté et dans l’éternité que constitue ce sentiment. Le soir même, quand nous étions au restaurant, au plus beau restaurant qui soit, quand le soleil fut couché, je me mis devant elle, genou au sol en lui disant :« L. Charlie Da Silva, l’être que je chéris le plus au monde, celle à qui j’ai ouvert mon cœur, celle avec qui je partage ma vie depuis un certain temps, Accepterais-tu d’être mon épouse? Je ne peux pas passer ma vie, sans toi, j’ai besoin de toi!» ET là mon monde s’écroula, il n’avait plus lieu d’être parce qu’elle venait de refuser ma demande. Je me détournai d’elle et sortis de la maison avec des larmes aux yeux. Je pris ma voiture et roulai, roulai jusqu’à ce que mon corps n’en puisse plus. Jusqu’à ce que la fatigue l’emporte.  Je me trouvai un motel. Je m’y arrêtai une nuit, comme si je pouvais dormir… et repartis le lendemain pour une autre ville. Bien sûr le travail avait fait aussi que je devais partir et me retrouver dans cette ville, mais ce refus n'avait qu'accéléré les choses. Je me retrouvai en Virginie. J’y restai un moment …plus précisément 6 mois et réalisant mon erreur d’être partie et du fait que j’aurais dû me battre pour elle, je repris ma voiture et retournai dans ma ville natale, Red wings. Ma nouvelle mission? La reconquérir et la redemander en mariage et qu’elle accepte enfin! Charlie était vraiment la femme qu’il me fallait, je ne la laisserais pas m’échapper! Voilà ma vie maintenant, me trouver un travail à l’hôpital et récupérer ma dulcinée!