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 (+) Walking on a dream, how can I explain ?

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MessageSujet: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptySam 25 Mai - 21:42



Sofia Manali Sherridan


« Dans la ruelle elle fait les cents pas, à la recherche des ivresses d'autrefois. »



What I am



ღ NOM: Sherridan ღ PRÉNOM(S): Sofian Manali DATE ET LIEU DE NAISSANCE ღ : vingt-quatre mars 1988 Montgomery (Alabama, USA) ÂGE ღ : Vingt-cinq ans ORIENTATION SEXUELLE ღ : Hétérosexuelle SITUATION CIVILE ღ : Veuve SITUATION FINANCIÈRE ღ : Riche EMPLOI/ÉTUDES ღ : Directrice artistique d'un magasine de mode. CARACTÈRE ღ : Je suis quelqu'un que l'on pourrait qualifier de détestable, j'ai un sale caractère je le sais mais que voulez-vous, je ne peux changer d'un claquement de doigt et pour tout dire, je ne le souhaite pas. Je suis ambitieuse, j'aime arriver à mes fins et fais tout pour quel qu’en soit le prix à payer. La franchise, dire ce que l'on pense tout haut sans se soucier de l'avis des autres, c'est une qualité oui, je déteste le mensonge, ça me répugne, réellement. Je peux paraître froide et distante, pour tout dire, je le suis et je me fiche pas mal de ce que peuvent penser les autres, l'égocentrisme est peut-être mon plus gros défaut, ou est-ce cette manie à manipuler et jouer la comédie pour arriver à mes fins ? Franchement, j'arrive pas à me décider. L'impulsivité peut être un problème pour beaucoup, je ne considère pas ça comme une tare, la violence physique ne résous rien, je préfère me laisser aller à la violence verbale, les mots touchent plus et restent gravés plus longtemps dans l'esprit. Haïssez-moi, vous me donnez de l'intérêt, j'aime ça. GROUPE ღ : You found me AVATAR ღ : Karen Gillan CRÉDITS ღ : Tumblr.

Why I am here



ღ DEPUIS QUAND ÊTES-VOUS À RED WING ?: J'ai posé le pied dans cette maudite ville il y a maintenant deux ans, sept cent trente jours à errer et espérer un jour pouvoir sortir de ce trou pour enfin m'épanouir, mais voilà, le destin est capricieux. ღ QU'EST-CE QUI VOUS FAIT RESTER DANS CETTE VILLE ?: Je ne sais pas ce qui peut me retenir, le boulot, une flemme monstre de vouloir chercher une autre maison, tout ce que je peux vous dire, c'est quelque chose de très puissant. ÊTES-VOUS ÉPANOUI(E) ? ღ : Une vie qui pourrait en faire rougir plus d'un, un job que beaucoup s'arracheraient, une maison, de l'argent et pourtant, j'ai l'impression de ne pas être totalement épanouie. QU'EST-CE QU'IL MANQUE DANS VOTRE VIE ? ღ : Un homme, des enfants ou un chat, je ne sais pas, je cherche encore cette dernière pièce à mon puzzle. QUELS SONT VOS PROJETS ? ღ : Continuer de vivre ainsi et attendre que le destin me tombe sur le coin de la figure, non, plutôt survivre dans ce monde sauvage.


Who I really am



ღ PSEUDO: Grimm ღ PRÉNOM: Appelez moi Effy, tout simplement. ÂGE ღ : Dix-huit longues années. NIVEAU RP ღ : Entre 2000 et 4000 mots. TYPE DE PERSONNAGE ღ : Inventé, of course. COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? ღ : Tout simplement orgasmique. :héhé: COMMENT L'AS-TU DÉCOUVERT ? ღ : Facebook I love you UN DERNIER MOT ? ღ : Pouet pouet caribou. (+) Walking on a dream, how can I explain ?  2442456275 CODE POUR BOTTIN ღ :
Code:
<b> GILLAN Karen  ღ [url=http://alwayscominback.forumsrpg.com/u26]Sherridan Sofia M. [/url]






Dernière édition par Sofia M. Sherridan le Dim 26 Mai - 11:33, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptySam 25 Mai - 21:42



What makes what I am


« 9 Crimes. »



T’étais assise là, sur le canapé, portant tes mains à ton visage, le regard vide et perdu. Depuis combien de temps pouvais-tu être là ? Un jour, une heure, une minute, tu t’en fichais pas mal, t’étais simplement dans la merde et tu le savais éperdument. Ton regard fila un quart de seconde sur l’homme avant de se reposer sur le tapis sous tes pieds, les larmes montaient, un cri naquit du fond de ta gorge mais tu le retenais, ta seule envie était de te recroqueviller dans un petit coin de cette gigantesque maison et laisser le temps te dévorer. Une fois de plus tes yeux se posèrent sur l’homme, tu t’étais levé brusquement, portant tes mains à ton cœur pour finalement poser ton front contre un mur et laisser ton corps frêle glisser le long de celui-ci. Tu fermais les yeux, laissant les larmes perler le long de tes joues pour venir s’écraser silencieusement sur le sol, t’essayais de réfléchir mais t’y arrivais pas, t’étais secoué par des sanglots, incapable d’exprimer le moindre mot, tu croisais tes bras sur ta poitrine, refusant farouchement d’affronter la réalité, t’espérais que tout ceci n’était qu’un cauchemar, tu voulais te réveiller dans ton lit, le soleil se posant sur ton visage mais rien n’y faisait, t’avais beau ouvrir un œil, rien n’avait changé. Tu prenais ta tête entre tes mains et laissais échapper des gémissements étouffés, tu tremblais, tu rapprochais un peu plus tes jambes contre ta poitrine et te cala dans un coin essayant de te faire la plus petite possible comme pour ne pas éveiller, ne pas énerver les fantômes du passé. Où était la petite fille innocente et naïve qui courrait les rues de New-York à la recherche d’occupations quelconque ? Où était cette gamine qui pourchassait sans cesse ses rêves ? Elle était là, à sangloter dans le coin de sa maison à supplier dieu de bouger ses fesses spirituelles pour la tirer des abysses cauchemardesques. Le destin s’acharnait sur toi, il ne voulait pas te voir heureuse, il voulait te voir dépérir, tomber plus bas que terre pour finalement sombrer dans le chaos le plus total. Tu le savais, déjà toute petite la famille c’était pas ça. T’étais la première de ta classe, celle à qui tout réussissait, t’avais un avenir radieux qui te tendait les bras et pourtant, ton père, ta mère, eux, s’en fichaient pas mal. T’avais beau faire des efforts rien n’y faisait, t’étais le mouton noir, l’ombre au tableau, t’étais seule, éternellement seule. Tu pouvais partir un jour, une semaine ou un mois, personne n’y prêterait attention, t’étais un fantôme, une touriste à leurs yeux. Tu souffrais oui, tu souffrais terriblement, l’indépendance et la liberté étaient deux choses dont tu pouvais te vanter, t’avais pas de limite, pas d’interdits, t’étais un oiseau tombé du nid, qui, finalement, battait des ailes mieux que ses confrères. Mais rien n’y faisait, ce manque horrible te tiraillait, l’absence d’amour, aucune épaule sur laquelle pleurer, personne pour te consoler, tu ne pouvais compter que sur ta petite personne, et encore, tu semblais t’abandonner toi-même à ton triste sort. Oui, le destin te haïssait, voulait te perte, t’en avais la preuve devant toi et pourtant tu refusais de croire que ta vie était probablement fichue. Tu t’étais levé, courant dans ta salle de bain, laissant couler de l’eau chaude avant de te jeter dans la baignoire te frottant les mains et les avants bras, laissant un filet de sang se diluer dans le liquide, tu te recroquevillais, laissant les larmes se fondre dans l’eau, ramener tes jambes au plus près de ta poitrine, posant ta tête sur tes genoux en fermant les yeux. Tu devais bouger, agir, te secouer mais t’étais perdue, tu savais pas quoi faire, quoi dire, tu te voyais déjà les menottes te serrant les poignets, le visage froid, l’étiquette de meurtrière qui allait te coller jusqu’à ce que tu te retrouves six pieds sous terre, tu reniais cette vision des choses, tu secouais la tête, te soulevant hors de la baignoire à l’aide de tes bras tremblants. Tu courrais à travers la maison laissant ta chevelure flamboyante virevolter en l’air, te précipitant vers la cuisine avant de tomber à genou, le visage rougit par les larmes, le cœur battant. Ta main tâtait le mur à gauche, puis à droite avant d’empoigner un tuyau. Tu fermais les yeux lentement, laissant une dernière larme venir s’écraser sur le sol avant de finalement tirer un bon coup. Ton corps se détendit alors que ta tête se posa contre le gaz, laissant le silence reprendre ses droits. Un sifflement incessant résonnait dans tes oreilles, tu regardais l’horloge avant d’inspirer profondément, t’adossant à cette machine meurtrière, recassant les scènes du passé avant que la faucheuse ne vienne te prendre une fois pour toute. Tu te sentais pathétique, terriblement pathétique, t’allais crever là à cause d’un homme, d’un seul, ton foutu mari qui voulait mettre fin à tes jours de ses propres mains, c’était de la légitime défense et pourtant on allait pouvoir te donner des surnoms tous plus horribles les uns que les autres, conter ton histoire aux enfants, celle-ci allait peut-être devenir un film d’horreur, t’imaginais toutes les possibilités, tu voyais déjà les gros titres. L’odeur du gaz te donnait une sensation étrange, t’avais l’impression de planer mais t’étais bien sur cette foutue terre, assise sur le sol parfaitement nettoyé. Tu te levais avec difficulté, courant à travers les pièces pour finalement sortir aussi vite que possible, tes poumons brûlaient, ta gorge était nouée mais t’enchainais les pas pour t’éloigner le plus possible de cette foutue maison. Un cri naquit, sortant directement de ton cœur mais celui-ci n’eut pas le temps de traverser tes lèvres que ton petits corps frêle se retrouva projeté quelque mètre plus loin, soufflé à la manière d’une brindille avant de s’écraser au sol. T’étais allongé sur le bitume, observant le ciel déchiré par de nombreux éclairs, New-York et sa banlieue étaient submergées par des trombes d’eau alors que ton maudit foyer était la proie des flammes. T’arrivais pas à bouger, t’étais incapable de faire le moindre geste, tes paupières se faisaient de plus en plus lourdes, ta chevelure flamboyante semblait se noyer, ce brasier s’éteignait en même temps que ta petite vie, un filet de sang s’échappa d’entre tes lèvres alors que le paysage se faisait de plus en plus flou, tu ne distinguais plus les éclairs, le tonnerre s’évanouissait dans la nuit et t’étais là, t’étais morte, terriblement morte.

T’avais mal, tu souffrais le martyre mais ton visage ne trahissait aucune émotion, le silence était maître dans ta petite chambre d’hôpital, t’ouvrait les yeux lentement, respirant profondément avant de te relever brusquement. Tes yeux filèrent à gauche, puis à droite, t’étais seule, vivante mais seule. Tu te laissais retomber sur ton oreiller, cherchant ton portable avec ta main pour finalement regarder la date et l’heure. Une semaine semblait être passée et pourtant, cela fait quelques heures à peine que t’étais plongé dans ces draps. Ta vie n’était plus que d’innombrables morceaux que tu devais t’amuser à recoller pour trouver un semblant de normalité, vingt et un an, déjà meurtrière. New-York te répugnait, cette ville n’était plus qu’un fantôme de ton passé qui allait te suivre encore et encore, tout quitter, tout plaquer pour repartir à zéro, t’avais envie de retourner à tes racines, planter ta vie en Alabama, à Montgomery, la ville qui t’a vu grandir, celle que tu chérissais tant, ton éternel foyer. Tes parents logeaient là-bas mais tu t’en fichais pas mal, tu voulais poursuivre tes rêves. T’avais pris ce qu’il te restait avant de finalement prendre la route, t’avais posé le pied quelques jours plus tard dans un motel, tu te reconstruisais lentement mais surement, prenant les devants, cherchant un boulot. T’avais cette étrange impression d’avoir testé tous les petits jobs inimaginables, du plus ingrats au mieux payé, serveuse ou réceptionniste, t’étais un électron libre cherchant à se défaire du quotidien morne, tu tâtais le terrain avant de finalement te jeter à l’eau, tu démissionnais, t’étais ambitieuse, tellement sure de toi que tu t’étais retrouvé dans cette agence, débarquant comme une fleur, certaine d’obtenir ce que tu voulais car au fond, on ne pouvait rien te refuser. T’avais échappé à la prison, à la mort, t’as posé tes valises sans argent en poche et pourtant t’étais là, devant cette femme bien habillée, au regard froid et pesant mais rien ne t’effrayait. « Comment t’as eu ce poste ? » Une question qui revenait tout le temps, à chaque fois, ta réponse ? « J’ai dit la vérité »Tu t’es imposée, t’as donné ton point de vue, ton courage et ta détermination ont fait de toi cette perle rare que ce magasine se devait d’obtenir, t’étais directrice artistique, claquer des doigts pour arriver à tes fins semblait si simple, le vent avait tourné, le destin s’était retrouvé de ton côté, une bonne fois pour toute. Tu marchais la tête haute, le menton relevé, tu pouvais tout te payer, compenser cette solitude qui te suivait depuis ton enfance avec des habits et des choses hors de prix, le pire, c’est que ça marchait. Seulement la vie est capricieuse, rien n’est réellement stable, tout peut s’écrouler à un moment ou à un autre, t’allais en faire les frais. Tu marchais pour rentrer chez toi, le tonnerre grondait au loin faisant remonter à la surface de douloureux souvenirs que tu tentais de tasser, d’effacer, mais tu ne pouvais lutter, un triste anniversaire, le schéma semblait se répéter. L’orage, la pluie battante, t’avais peur, t’étais devenu parano tu le savais, mais tu ne pouvais t’empêcher d’accélérer le pas pour retrouver ton cocon. Un homme t’empoigna le bras alors qu’un cri étouffé s’échappa d’entre tes lèvres, il posa sa main souillée, répugnante sur ta bouche avant de t’écraser contre un mur. Il ne cessait de répéter, « je sais, je sais ce que t’as fait, tu dois payer ». Tu te débattais autant que tu pouvais, il était fou, mais comment pouvait-il savoir ce que t’avais fait ? T’entendais des pas dans la ruelle, vous n’étiez pas seuls, mais ce taré allait avoir ta peau, t’empoignais un –je ne sais quoi – métallique que tu t’empressais de lui écraser sur le crâne avant de le pousser plus loin, il gisait à terre, baignant dans une marée rougeâtre, inerte. Tu portais tes mains à ta bouche, lâchant ton arme au sol dans un fracas incroyable. Tu reculais avant que ton dos de touche quelque chose, tu t’étais retourné brusquement, faisant virevolter ta chevelure flamboyante, les joues inondées de larmes. Un homme se tenait derrière toi, aucun son, aucun mot ne s’échappa de ta bouche, t’étais trop choquée, trop mal. Ses bras t’enlacèrent lentement, tu réfugiais ta tête au creux de son cou avant de déverser un flot de larmes qui venaient se brouiller avec l’eau de pluie. Il te savait innocente, il avait tout vu et pourtant, tu flippais.

Le destin tourne sans cesse, provoquant malheur ou bonheur à quiconque ose y croire, il s’acharnait sur toi et pourtant faisait tout pour que ta vie reste un conte de fée aux yeux des autres. T’avais échappé de nombreuses fois à la mort, à la prison, un ange gardien semblait veiller sur toi mais tu reniais l’idée d’avoir une vie monotone, te poser une bonne fois pour toute, respirer un bon coup et continuer ta route sans embûche. Tu haïssais ce que t’étais devenu et pourtant, t’adorais ton reflet lorsque tu t’arrêtais devant un miroir. Un job de rêve, une maison au beau milieu d’une petite ville et enfin ce bonheur que t’attendais voilà maintenant vingt-cinq ans. Un soir cauchemardesque qui t’a finalement envoyé ici, à Red Wings, un nouveau et dernier départ. T’avais du mal à prendre tes marques ici, tu regrettais ton Alabama natale, New-York te manquait mais tu refusais l’idée d’y retourner une fois, ne serait-ce qu’une fois, ton passé était enterré, ou du moins, tu le pensais, les fantômes rejaillissent toujours un jour ou l’autre et tu le savais, mais t’avais pas envie, non, tu ne voulais pas retourner vers eux de peur de tomber définitivement. Tu te relevais à chaque fois, mais tu le sentais, une nouvelle tragédie et tout était terminé, les forces allaient t’abandonner. Tu marchais sur un fil si fin qu’un simple faux mouvement pouvait te faire basculer dans les abysses une bonne fois pour toute, tu jouer avec le danger et pourtant t’aimais ça, t’étais une combattante et on t’admirait pour ça. T’avais un caractère détestable, mais les évènements et les souffrances passées sont ce qui nous forgent. Tu n’étais plus seule, une âme était là pour t’épauler, te guider et essayer de te relever, celui qui t’avait tiré des profondeurs des ténèbres deux ans plus tôt, la solitude s’était envolée et pourtant, rien n’y faisait, t’arrivais pas à te défaire de cette sensation d’abandon qui te collait à la peau comme la peste. On passe notre vie entière à s’inquiéter de l’avenir, à faire des projets pour l’avenir, à essayer de prédire l’avenir... Comme si savoir à l’avance pouvait amortir le choc. Mais l’avenir change constamment. L’avenir est le lieu de nos plus grandes peurs, et de nos espoirs les plus fous. Mais une chose est sûre : quand finalement, il se dévoile... l’avenir, n’est jamais comme on l’avait imaginé. Tu refusais de jeter un coup d’œil en avant ou en arrière, tu préférais vivre le moment présent et bon dieu ce que tu avais raison.





Dernière édition par Sofia M. Sherridan le Dim 26 Mai - 15:03, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptySam 25 Mai - 21:44

Bienvenue parmi nous :bril: Si tu as la moindre question n'hésite pas à mpotter l'un des membre du staff :luv:

Ton avatar +Pseudo :luv: :bla:


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Aryanna S. Ravenwood
Aryanna S. Ravenwood

:
La famille d'abord
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Mes parents je leur dédie ceci:
Je sais bien que ça se passe pas toujours comme dans les livres
J'aimerais mieux pas savoir qu'on avait ça a vivre
Maintenant que tout est fait et qu'on peut pas revenir
Il faut se remettre a vivre
Faut se remettre a sourire (Ohhh)

Pour tous ceux qui reste
Tout ceux qui espèrent
Pour tout ceux qui marchent encore sans ta lumière
Pour tout ce qu'on laisse
Tout ce qu'on perd
On s'accroche a demain (Ohhh)

Pour tous ceux qui reste
Ceux qui espèrent
Pour tout ceux qui marchent encore sans ta lumière
Pour tout ce qu'on laisse
Tout ce qu'on perd
On s'accroche a demain mais on oublira jamais hier
On oublira jamais hier (Ohhh)
On oublira jamais hier (Ohhh)
On oublira jamais hier

[marie-mai]
ღ TROMBINOSCOPE : (+) Walking on a dream, how can I explain ?  Tumblr_l6m4vxo9p51qazygv
ღ ÂGE : 28
ღ SITUATION : Célibataire..mais aime quelqu'un
ღ CÔTÉ COEUR : L'amour est le plus beau sentiment, parfois il faut osé briser le lien pour en créer un plus fort!
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Amène moi plus bas joli coeur!:
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Je t'ai toujours cru inocent.. tu sais où me trouver!:
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ღ EMPLOI : Tutrice au lycée
ღ AVATAR : Lucy Hale
ღ CRÉDITS : Tumblr
ღ PSEUDO : ary
ღ DOUBLE COMPTE ? : Elijah
ღ DATE D'INSCRIPTION : 18/05/2013
ღ MESSAGES POSTÉS : 243
ღ POINTS : 278
MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptySam 25 Mai - 21:58

Bienvenue parmi nous! Très bon choix d'avatar!
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptySam 25 Mai - 23:24

Bon courage pour la suite de ta fiche ^^
Bienvenue parmi nous surtout Very Happy
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptyDim 26 Mai - 15:04

Merci à vous, vous vendez du rêve ! :vi: ♥️
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptyDim 26 Mai - 15:54



Nous te validons !


OMG tu m'a tué :tombe: j'adore ton style d'écriture malgré la deuxième personne.. donc je te valide :vi:.

Nous te validons avec le plus grand plaisir. L'équipe d'Always Comin' Back a vraiment hâte de découvrir ton personnage au fil des rps, nous espérons que tu vas te plaire. :bla: (+) Walking on a dream, how can I explain ?  3966981869 (+) Walking on a dream, how can I explain ?  4042249951
N'oublie pas d'aller recenser ton métier, ainsi que ton logement et faire les demandes pour ton personnage. Tu peux également créer jusqu'à trois scénarios et tu peux aussi demander un parrainage. C'est pas beau tout ça ? :bril:
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  EmptyDim 26 Mai - 15:58

Merci beaucoup Bloody Sam :niark: ♥️
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MessageSujet: Re: (+) Walking on a dream, how can I explain ?    (+) Walking on a dream, how can I explain ?  Empty

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